Le salaire moyen des ouvriers

Quand on parle de salaire, ce n’est jamais sans remous, c’est toujours un sujet épineux qui est toutefois indissociable au milieu du travail car il est dit que «  tout travail mérite salaire !  » mais de quel mérite parle-t-on ?  Voyons davantage pour en voir plus clair.

 

L’ouvrier,

Une définition très banale, le salaire est une compensation en nature ou en numéraire reçue ou donnée en contrepartie d’une prestation quelconque définies au préalable, par les deux parties concernées : le salarié et l’employeur. Nous allons pour cette fois aborder le cas des ouvriers.

Afin de bien appréhender les choses, c’est quoi un ouvrier ? C’est un salarié, régie comme tout le monde par le même code de travail, mais en terme de catégorie professionnelle, les ouvriers se situent en bas de l’échelle. Généralement, on peut être ouvrier même sans qualifications particulières. Toutefois, les ouvriers sont les premiers moteurs, acteurs majeurs de la réalisation d’un projet donné. Premiers exécutants. Ce sont eux qui effectuent directement toutes les tâches liées à l’atteinte de l’objectif final. Le travail d’un ouvrier peut se passer dans de pénibles conditions : pouvant être très physiques, manutention d’objet lourd ; dans des conditions extrêmes : insalubrité, exposition aux produits dangereux, dans des conditions climatiques extrêmes,…

 

Salaire de l’ouvrier : 2000 Euros,

Le salaire moyen des ouvriers, tous domaines confondus avoisine cette somme, 2000 Euros en France. Il est conditionné généralement par la taille de l’organisation au profit des grandes Entreprises. Juste ou pas injuste, sous-payés ou surpayés, nous ne pouvons pas statuer. A chacun d’apporter son jugement. Toutefois, quelques cas d’abus mériteraient d’être soulignés.

Des petites structures, qui sont moins exigeants en terme de paperasses diverses et au niveau de leur politique de recrutement même. Mais en contrepartie, ils surexploitent leurs ouvriers, ne tenant pas compte des horaires normales de travail, avec aucun contrat de travail, aucune couverture sociale, et les attributions du travailleur ne sont pas clairement définies et le comble c’est qu’ils sont parfois rémunérés bien en deçà du salaire minimum prévu.

Il en est de même pour les employeurs qui profitent du manque de connaissance de l’ouvrier pour l’arnaquer, en inventant des obligations légales par des retenues salariales fictives. Certains employés se méfient mais par crainte de se faire licencier, ou à cause du doute, ils préfèrent s’abstenir de réagir.

Ces faits sont à déplorer et nous profitons de l’occasion pour interpeller les autorités compétentes pour éradiquer ces pratiques qui bafouent les conditions humaines de base même.

 

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